Des chercheurs étudient la COVID-19 chez les travailleurs de l’alimentation à haut risque au Québec et en Ontario

Depuis le début de la pandémie, des milliers de Canadiens ont dû continuer à fournir des services essentiels, par exemple en travaillant dans les usines de production et d’emballage d’aliments, ou encore dans les épiceries, les restaurants et les bars. Parfois, cela suppose une grande proximité avec les collègues ou les clients. Le gouvernement du Canada, par l’intermédiaire de son Groupe de travail sur l’immunité face à la COVID-19 (GTIC), investit environ 4,5 millions de dollars en appui à deux études portant sur certaines répercussions de la COVID-19 sur les travailleurs de l’industrie alimentaire au Québec et en Ontario.