Les receveurs d’une transplantation rénale ne produisent pas une réponse aussi vigoureuse des anticorps du vaccin contre la COVID-19 que les personnes en bonne santé

Une étude prépubliée, qui n’a donc pas encore été révisée par un comité de lecture, et qui est financée par le GTIC a révélé que seulement 45 % des receveurs d’une transplantation rénale (RTR) ont développé des anticorps neutralisants spécifiques à Omicron un mois après une troisième dose de vaccin.