Ceci est un résumé, rédigé par les membres du Secrétariat du GTIC, de :

Racey CS, Donken R, Porter I, Albert A, Bettinger JA, Mark J, Bonifacio L, Dawar M, Gagel M, Kling R, Mema S, Mitchell H, Roe I, Ogilvie G, Sadarangani M, 2021. Intentions of public school teachers in British Columbia, Canada to receive a COVID-19 vaccine. Vaccine: X 8, 100106. doi : 10.1016/j.jvacx.2021.100106

Les résultats et/ou conclusions contenus dans cette recherche ne reflètent pas nécessairement les opinions de tous les membres du GTIC.

En Colombie-Britannique, où les écoles ont été ouvertes pendant l’année scolaire 2021-2022, les enseignants ont été sondés pour mieux comprendre leurs perceptions de la vaccination et pour mesurer leur volonté à accepter un vaccin contre la COVID-19. Cette étude, réalisée par la Pre Julie Bettinger, la Dre Gina Ogilvie et le Pr Manish Sadarangani, membres de l’équipe de direction du GTIC et du GRSV, a été publiée dans Vaccine: X. L’équipe de recherche a affirmé qu’en raison du rôle capital des enseignants dans le fonctionnement de la société, il faudrait leur donner un accès prioritaire au vaccin contre la COVID-19 le plus tôt possible pour qu’ils demeurent en santé, pour réduire la transmission du virus en classe et pour maintenir les écoles ouvertes en toute sécurité afin d’assurer la stabilité des étudiants et des familles.

Faits saillants

  • Entre août et novembre 2020, la majorité des enseignants des écoles publiques de la Colombie-Britannique (89,7 %) ont indiqué qu’ils étaient susceptibles ou très susceptibles d’accepter un vaccin contre la COVID-19 s’il était sécuritaire et efficace et s’il leur était recommandé.
  • L’intention de se faire vacciner contre la COVID-19 chez les enseignants était plus élevée que dans la population générale. En effet, seulement 55,5, % de la population générale de la province ont indiqué être très susceptibles de se faire vacciner, par rapport à 69,5 % des enseignants.
  • Les enseignants les plus disposés à se faire vacciner étaient de sexe masculin, avaient une formation en science ou en génie et utilisaient des sources fiables sur la vaccination.
  • Une plus grande confiance envers le vaccin était également associée à de plus grandes connaissances sur les vaccins et une meilleure compréhension du fait que la COVID-19 peut être une maladie grave.