La réinfection par le SRAS-CoV-2 était rare chez les travailleurs de la santé avant l’émergence du variant Omicron
Dans un article de la revue Influenza and Other Respiratory Viruses, la Dre Caroline Quach-Thanh, une chercheuse financée par le GTIC de l’Université de Montréal, et d’autres membres du projet REinfection in COVID‐19 Estimation of Risk (RECOVER) ont réalisé une étude chez des travailleurs de la santé canadiens qui ont déjà été atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 diagnostiquée, pour mieux comprendre la vulnérabilité à la réinfection.
Une étude démontre que la dose de rappel déclenche une plus forte réponse des anticorps, y compris contre le variant Omicron
Même si, dans la plupart des cas, deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 peuvent éviter une maladie grave, les réponses immunitaires conférées par la vaccination diminuent naturellement au fil du temps, ce qui accroît le risque d’infections postvaccinales.
Les confinements imposés par la COVID-19 pourraient être responsables de la résurgence du virus respiratoire syncytial pendant la saison creuse
Bien qu’une moyenne de 1 450 cas de virus respiratoire syncytial (VRS) soit signalée chaque année en Colombie-Britannique, seulement cinq cas y ont été déclarés en 2020-2021, en grande partie à cause des restrictions importantes, sinon draconiennes, des interactions pendant les confinements provinciaux.
L’infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse est associée à un risque accru de résultats cliniques indésirables pour la mère et pendant la période périnatale
D’après une étude financée par le GTIC publiée dans JAMA, l’infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse était fortement associée à un risque accru de pronostic défavorable et de prématurité chez les femmes enceintes non vaccinées.
30 % des donneurs à la Société canadienne du sang avaient été infectés par le SRAS-CoV-2 à la fin de mars 2022
Comme le laissait présager la transmission continue du variant Omicron, la séropositivité acquise par l’infection a augmenté graduellement chez les donneurs de sang tout au long du mois de mars, passant de 27 % à 30 %.
Les réponses immunitaires au vaccin à ARNm contre la COVID-19 chez les patients immunodéprimés
Un article désormais publié dans JCI Insight et rédigé par la Pre Anne-Claude Gingras, la Pre Tania Watts et le Dr Vinod Chandran, des chercheurs de l’Université de Toronto financés par le GTIC, démontre la nécessité d’administrer une troisième dose de vaccin à ARNm chez les patients atteints d’une maladie inflammatoire à médiation immunitaire (MIMI).
Les vaccins à ARNm produisent des anticorps dans la salive
Dans un article désormais publié dans Mucosal Immunology, des chercheurs examinent si les vaccins à ARNm produisent des anticorps dans la salive.
À la mi-mars, plus du quart des adultes québécois avaient récemment acquis des anticorps liés à l’infection par le SRAS-CoV-2 : les données les plus récentes d’Héma-Québec
Selon une récente enquête de séroprévalence réalisée par Héma-Québec, 27,4 % des adultes de la province ont produit des anticorps acquis par l’infection par le SRAS-CoV-2 entre janvier et la mi-mars 2022, pendant la première vague du variant Omicron.
La vaccination chez les personnes qui vivent avec une maladie inflammatoire à médiation immunitaire est hautement efficace contre l’infection par le SRAS-CoV-2 et des résultats cliniques graves
Ce texte, rédigé par des membres du secrétariat du GTIC, résume l’article suivant : Widdifield J, Kwong JC, Chen S, Eder L, Benchimol EI, Kaplan GG, Hitchon C, Aviña-Zubieta JA, Lacaille D, Chung H, Bernatsky S. Vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infection and severe outcomes among individuals with immune-mediated inflammatory diseases tested between March 1 and Nov 22, 2021, in Ontario, Canada: a population-based analysis. Lancet [...]