Optimisation des tests immunologiques

La conception de dosages sérologiques au potentiel diagnostique amélioré

Dans l’espoir de créer un test diagnostique plus précis et hautement informatif, un chercheur financé par le GTIC, le Pr Andrei Drabovich de l’Université de l’Alberta, et ses collègues ont conçu et évalué la performance de nouveaux dosages sérologiques pour mesurer la présence d’anticorps au SRAS-CoV-2 dans le sang et la salive.

Une piqûre au doigt pour dépister les anticorps contre le SRAS-CoV-2

Une équipe de chercheurs de Vancouver, dirigée par la Pre Agatha Jassem du British Columbia Centre for Disease Control (BCCDC) et financée partiellement par le GTIC, a évalué des tests sérologiques du SRAS-CoV-2 à l’aide de deux méthodes : la piqûre au doigt et les gouttes de sang séché (GSS), d’une part, et la ponction veineuse habituelle (prélèvement de sang à l’aiguille), d’autre part.

Des chercheurs de Vancouver mettent au point un test quantitatif de charge virale quantitative du SRAS-CoV-2

Un groupe de chercheurs de l’Université Simon Fraser, du BC Centre for Excellence in HIV/AIDS et du Providence Health Care dirigé par la Pre Zabrina Brumme, une chercheuse financée par le GTIC, a mis au point une méthode pour quantifier le taux de SRAS-CoV-2 dans des échantillons biologiques humains au moyen d’une technique appelée amplification en chaîne par polymérase après transcription inverse numérique par gouttelettes (RT-ddPCR).

Des dosages « fabriqués au Canada » donnent de bonnes mesures de la séroprévalence

Dans une récente prépublication qui n’a pas encore été révisée par un comité de lecture, la Pre Anne-Claude Gingras, de l’Université de Toronto, et le Pr Steven Drews, de la Société canadienne du sang, qui font tous deux partie du Groupe de travail sur les tests immunologiques du GTIC, ont comparé de multiples dosages et conclu que ceux « fabriqués au Canada » fonctionnent bien.

Les estimations des enquêtes de séroprévalence sont entachées par la baisse des anticorps anti-nucléocapsides

Des chercheurs de Santé publique Ontario et de l’École de santé publique Dalla Lana de l’Université de Toronto ont constaté une baisse du nombre de prélèvements contenant des anticorps détectables au fil du temps d’après les dosages des IgG anti-SARS-CoV-2 sur les systèmes Architect d’Abbott.

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