Les enfants séronégatifs étaient de neuf à 12 fois plus susceptibles de produire des anticorps attribuables à l’infection au début de la période Omicron qu’auparavant
D’après les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans la revue Influenza and Other Respiratory Viruses, les enfants auparavant séronégatifs étaient de neuf à 12 fois plus susceptibles de subir une séroconversion attribuable à l’infection au début de la période de domination des variants Omicron (de mai à octobre 2022) qu’avant l’avènement de ces variants. L’étude était dirigée par la Pre Kate Zinszer de l’Université de Montréal.