Risque plus élevé en raison de l’état de santé

Protocole : la force et la durée des réponses immunitaires aux vaccins contre la COVID-19 chez les personnes atteintes d’une néphropathie chronique

Cet article, dont les résultats ont été publiés dans le Canadian Journal of Kidney Health and Disease par les Drs Matthew Oliver et Michelle Hladunewich du Sunnybrook Health Sciences Centre, des chercheurs financés par le GTIC, présente le protocole d’une nouvelle étude visant à caractériser la force et la durée des réponses immunitaires aux vaccins contre la COVID-19 chez les personnes ayant une néphropathie chronique.

Les troisième et quatrième doses de vaccin élargissent et prolongent l’immunité au SRAS-CoV-2 chez les adultes ayant une MIMI

Les résultats d’une étude financée par le GTIC, parue en prépublication et non révisée par un comité de lecture, ont démontré que les troisième et quatrièmes doses de vaccin maintenaient et élargissaient les réponses immunitaires contre le SRAS-CoV-2 chez les adultes atteints d’une maladie inflammatoire à médiation inflammatoire (MIMI).

Les doses de rappel sont efficaces pour produire de vigoureuses réponses immunitaires des lymphocytes T chez les personnes atteintes du VIH

Les résultats d’une étude révisée par un comité de lecture publiés dans Viruses, qui était dirigée par le Pr Mohammad-Ali Jenabian de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), conjointement avec le Pr Aslam Anis de l’Université de Colombie-Britannique, et qui était financée par le GTIC, ont établi qu’une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 produisait de vigoureuses réponses de l’immunité cellulaire chez les personnes ayant le VIH (PVIH), comparables à celles observées chez les personnes qui n'en sont pas atteintes.

Les préférences en matière de vaccination contre la COVID-19 chez les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire à médiation immunitaire chronique

Une étude financée par le GTIC publiée dans The Journal of Rheumatology souligne que les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire à médiation immunitaire (MIMI) chronique trouvaient les avantages de la vaccination contre la COVID-19 supérieurs à leurs inquiétudes envers les effets rares, mais graves, et une éventuelle exacerbation de leur maladie.

Il est possible d’estimer l’efficacité vaccinale avec fiabilité au moyen de diverses méthodologies de recherche chez les personnes atteintes d’une néphropathie chronique

Une étude financée par le GTIC et réalisée par le Dr Matthew Oliver de l’Université de Toronto et son équipe a révélé que les estimations de l’efficacité vaccinale chez les personnes ayant un diagnostic de néphropathie chronique demeurent stables dans trois méthodologies de recherche courantes : les études de type test négatif, de type test pseudonégatif et de cohorte.

L’immunogénicité des vaccins contre la COVID-19 chez les personnes atteintes du VIH

Selon une étude financée par le GTIC publiée dans AIDS et dirigée par la Dre Cecilia Costiniuk de l’Université McGill et le Pr Aslam Anis de l’Université de la Colombie-Britannique, plus de 90 % des personnes atteintes du VIH (PVIH) produisent des anticorps contre le SRAS-CoV-2 induits par la vaccination.

Les receveurs d’une transplantation rénale ne produisent pas une réponse aussi vigoureuse des anticorps du vaccin contre la COVID-19 que les personnes autrement en bonne santé

Une étude financée par le GTIC des Drs Matthew Oliver et Michelle Hladunewich de l’Université de Toronto, qui vient d’être publiée dans la revue Transplantation Direct, a établi que plus de 50 % des receveurs d’une transplantation rénale (RTR) ne possédaient pas d’anticorps neutralisants spécifiques à Omicron un mois après une troisième dose de vaccin.

Les réponses immunitaires conférées par les vaccins sont tout aussi durables chez les personnes atteintes du VIH que chez celles qui n’en sont pas atteintes

Une étude financée par le GTIC publiée dans la revue AIDS, sous la direction des Prs Mark Brockman et Zabrina Brumme de l’Université Simon Fraser et du BC Centre for Excellence in HIV-AIDS, conjointement avec le Pr Aslam Anis et le Dr Marc Romney de l’Université de la Colombie-Britannique, démontre que les réponses des anticorps conférées par une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 étaient tout aussi durables chez les personnes atteintes du VIH (PVIH) sous traitement antirétroviral que chez celles qui n’en étaient pas atteintes.

Deux doses des vaccins contre la COVID-19 ont été efficaces contre l’infection chez les personnes qui vivent avec le VIH

Une étude financée par le GTIC publiée dans l’International Journal of Infectious Diseases a révélé que deux doses du vaccin contre la COVID-19 protégeaient les personnes atteintes du VIH (PVIH) contre les infections par le SRAS-CoV-2 avec efficacité avant la vague Omicron.

Les réponses immunitaires conférées par les vaccins sont tout aussi durables chez les personnes atteintes du VIH que chez celles qui n’en sont pas atteintes

Une étude des Prs Mark Brockman et Zabrina Brumme de l’Université Simon Fraser et du BC Centre for Excellence in HIV-AIDS, conjointement avec le Pr Aslam Anis et le Dr Marc Romney de l’Université de la Colombie-Britannique, qui a été financée par le GTIC, a été prépubliée et n’a donc pas été révisée par un comité de lecture, démontre que les réponses des anticorps conférées par une troisième dose de vaccin contre la COVID-19 étaient tout aussi durables chez les personnes atteintes du VIH (PVIH) sous traitement antirétroviral que chez celles qui n’en étaient pas atteintes.

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