Risque plus élevé en raison de l’état de santé

Les réponses des lymphocytes T contre les variants Omicron BA.4/5 et XBB.1.5 chez les receveurs d’un organe plein était vigoureuses après la vaccination, mais plus faibles que contre la souche originale

Ce texte, rédigé par des membres du secrétariat du GTIC, résume l’article suivant : Halvorson T, Ivison S, Huang Q, Ladua G, Yotis DM, Mannar D, Subramaniam S, Ferreira VH, Kumar D, Belga S, Levings MK. SARS-CoV-2 variants Omicron BA.4/5 and XBB.1.5 significantly escape T cell recognition in solid organ transplant recipients vaccinated against [...]

Les résultats de recherches financées par le GTIC sur les réponses des vaccins chez les personnes immunodéprimées

Les études ont démontré que chez la plupart des personnes immunodéprimées, les doses de rappel étaient à la fois nécessaires et sécuritaires pour stimuler les anticorps et les taux d’immunité cellulaire, qui semblent s’affaiblir plus rapidement dans cette population.

La quatrième dose de vaccin contre la COVID-19 est hautement immunogène et sécuritaire chez les personnes qui ont reçu une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques

Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans Transplantation and Cellular Therapy, une quatrième dose de vaccin contre la COVID-19 est hautement immunogène (c’est-à-dire qu’elle confère une bonne réponse immunitaire) et sécuritaire chez les personnes qui ont reçu une allogreffe de cellules souches hématopoïétiques.

Les vaccins peuvent déclencher la neutralisation du SRAS-CoV-2 chez les personnes atteintes du VIH

Une étude financée par le GTIC, dont les résultats ont été publiés dans la revue AIDS, a révélé que la capacité de neutralisation du SRAS-CoV-2 conférée par la vaccination était semblable chez les personnes atteintes du VIH (PVIH) et celles qui ne l’étaient pas et qui n’avaient jamais contracté la COVID-19.

Les vaccins contre la COVID-19 étaient tout aussi efficaces chez les patients britanno-colombiens sous dialyse que chez leurs homologues ontariens

Les résultats d’une étude du GTIC publiés dans le Canadian Journal of Kidney Health and Disease révèlent que les vaccins contre la COVID-19 étaient hautement efficaces pour prévenir les infections et les résultats cliniques graves chez les patients sous dialyse d’entretien qui habitaient la Colombie-Britannique ou l’Ontario.

Les personnes atteintes du VIH risquaient plus de deux fois plus d’être hospitalisées à cause de la COVID-19 que celles sans

D’après les résultats d’une étude financée par le GTIC publiés dans l’International Journal of Infectious Diseases, les personnes atteintes du VIH (PVIH) risquaient plus de deux fois plus d’être hospitalisées à cause de la COVID-19 que les personnes sans VIH.

Il est important que les personnes âgées atteintes du VIH reçoivent trois doses de vaccin pour profiter d’une protection optimale contre l’infection par le SRAS-CoV-2

D’après les résultats d’une étude financée par le GTIC, qui sont parus en prépublication et n’ont donc pas encore été révisés par un comité de lecture, les personnes âgées atteintes du VIH ont besoin d’au moins trois doses de vaccin contre la COVID-19 pour maximiser leur réponse immunitaire au SRAS-CoV-2.

Les troisième et quatrième doses de vaccin améliorent l’immunité au SRAS-CoV-2 chez les adultes ayant une MIMI

Selon les résultats d’une étude financée par le GTIC parus dans The Journal of Immunology, les troisième et quatrième doses de vaccin maintenaient et élargissaient les réponses immunitaires contre le SRAS-CoV-2 chez les adultes atteints d’une maladie immunitaire à médiation inflammatoire (MIMI), ce qui inclut les maladies inflammatoires de l’intestin, le psoriasis, l’arthrite psoriasique, la spondylite ankylosante et l’arthrite rhumatoïde.

Les vaccins à ARNm monovalents contre le SRAS-CoV-2 sont sécuritaires pour les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin

Les résultats d’une étude financée par le GTIC, publiés dans The American Journal of Gastroenterology, ont établi que les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont sécuritaires pour les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin (MII).

Une quatrième dose de vaccin contribue à protéger les receveurs d’un organe plein contre les sous-variants Omicron en circulation

D’après une étude financée par le GTIC publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases, une quatrième dose de vaccin accroît considérablement les anticorps neutralisants propres aux sous-variants BA.4/5 de même que les réponses des lymphocytes T CD4+ chez les receveurs d’un organe plein (ROP).

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