Surveillance des vaccins généralisée

La dérivation et la validation d’un score clinique pour stratifier le risque chez les patients atteints de la COVID-19 qui obtiennent leur congé de l’urgence

Une étude financée par le GTIC publiée dans JACEP Open a révélé que le score de congé après la COVID-19 établi par le Canadian COVID-19 Emergency Department Rapid Response Network (CCEDRRN) peut déterminer quels patients sont à risque d’être hospitalisés ou de mourir dans les 72 heures suivant leur congé de l’urgence.

Peu d’infections postvaccinales pendant la vague Omicron en Ontario

Dans le Journal of the Association of Medical Microbiology and Infectious Disease Canada, des chercheurs de l’étude STOPCoV (Safety and Efficacy of Preventative COVID Vaccines, ou sécurité et efficacité des vaccins préventifs contre la COVID-19) financée par le GTIC font état d’un faible taux d’infections postvaccinales symptomatiques ou asymptomatiques (3,4 %) par la COVID-19 entre le 17 janvier et le 29 mars 2022.

Le risque de myocardite après la vaccination contre la COVID-19 demeure faible

Selon une étude publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne (JAMC), la Pre Zaeema Naveed du British Columbia Centre for Disease Control et ses collègues du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation (CIRN), financés par le GTIC, ont établi que le taux de myocardite après l’administration du vaccin contre la COVID-19 est faible, et que l’âge, le genre et le type de vaccin administré sont des facteurs importants à évaluer pour réduire le risque de myocardite postvaccinale.

Une étude confirme la rareté du risque de myocardite ou de péricardite après une deuxième dose de vaccin contre la COVID-19

Dans un article des Drs Naveed Janjua et Zaema Naveed du British Columbia Centre for Disease Control, des chercheurs du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation (CIRN) financés par le GTIC, incluant le Dr Jeffrey Kwong de l’Université de Toronto, ont publié un article dans le Journal of the American College of Cardiology dans lequel ils évaluent le risque de contracter une myocardite ou une péricardite après l’administration de deux doses du vaccin à ARNm de Pfizer ou de Moderna contre la COVID-19.

Les effets secondaires des vaccins après une infection par le SRAS-CoV-2

Une étude financée par le GTIC et le Réseau canadien de recherche sur l’immunisation (RCRI) publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases démontre que les adultes qui avaient déjà souffert d’une infection par le SRAS-CoV-2 modérée ou grave étaient plus susceptibles de ressentir des effets secondaires après leur première dose de vaccin.

L’efficacité des vaccins contre la COVID-19 dans le temps avant l’émergence d’Omicron

D’après une étude financée par le GTIC, publiée dans la revue Open Forum Infectious Diseases et dirigée par le Dr Jeffrey Kwong de l’Université de Toronto pour le compte du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation (CIRN), avant l’émergence du variant Omicron, l’efficacité de deux doses de vaccin contre la COVID-19 s’affaiblissait au fil du temps, mais demeurait élevée contre de graves résultats cliniques sur une période de 11 mois (de janvier à novembre 2021).

L’efficacité des vaccins contre l’infection symptomatique et les résultats cliniques graves causés par les variants Omicron ou Delta de la COVID-19

elon une étude financée par le GTIC, dirigée par le Dr Jeff Kwong de l’Université de Toronto et publiée dans la revue JAMA Network Open, deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 étaient hautement efficaces contre une infection symptomatique par le variant Delta, mais l’étaient moins et pendant moins longtemps contre l’infection par le variant Omicron.

L’efficacité des vaccins contre la COVID-19 à prévenir les hospitalisations et les décès au Canada avant l’émergence d’Omicron

Dans un article publié par la revue Clinical Infectious Diseases, les Drs Jeff Kwong de l’Université de Toronto), Gaston de Serres, de l’Institut national de santé publique du Québec, et Mel Krajden, de l’Université de la Colombie-Britannique, qui sont des chercheurs financés par le GTIC, démontrent que deux doses de vaccins à ARNm ou du vaccin à vecteur viral ChAdOx1 (vaccin Vaxzevria ou COVIDSHIELD d’AstraZeneca) conféraient une excellente protection contre les résultats cliniques graves (hospitalisation ou décès) de la COVID-19 pendant la période qui a précédé l’émergence du variant Omicron.

Une troisième dose de vaccin accroît la réponse des anticorps, particulièrement chez les personnes âgées

Le manuscrit d’une étude financée par le GTIC en prépublication (c’est-à-dire qu’elle n’est pas révisée par un comité de lecture), réalisée par le Dr Marc Romney (Université de la Colombie-Britannique) et les Prs Zabrina Brumme et Mark Brockman (Université Simon Fraser), a démontré qu’une troisième dose de vaccin à ARNm améliore considérablement l’ampleur et la durabilité des réponses contre les anticorps chez les personnes âgées (de plus de 70 ans) qui n’ont jamais contracté la COVID-19.

Aller en haut de la page